Marathon et 100 km de Millau 2024

Super Thierry ! 
Hâte de vous suivre tous les 2 (virtuellement   ) sur la course

J'ai encore en projet de faire l'UTMJ le weekend d'après Millau, mais ca ne m'interesse pas de le faire seul  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 
Je suis entrain de voir avec Florent de la BRS si il est motivé et dispo pour m'accompagner sur le 75km  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 

Si ca ne se fait pas, ca me libère sur cette période et je m'inscrirai sur les 100 km de Millau 
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], c'est quoi vos solutions d'hébergement sur le weekend ?
Si je vous rejoints, est ce que c'est possible de mutualiser le logement ?

Pour ceux qui préparent Millau, voici le profil altimétrique enregistré en 2022 par ma Garmin (en vert), et son prolongement (en rouge), parce que j'ai abandonné à St-Affrique, à 72 km et je n'ai jamais fait le retour vers Millau (enfin si, en bus).

Les premiers 45 km c'est la partie bucolique et sympa, un aller et retour le long du Tarn.
La seconde partie c'est un aller et retour de Millau vers St-Affrique.
La première côte (km 50), c'est une 4 voies qui passe sous le viaduc de Millau : long et pas très intéressant. C'est le moment de trouver des compagnons avec qui papoter.
Ensuite il y a la descente, puis le faux-plat montant qui m'a cassé le moral en 2022.
Après, au km 62 on attaque la côte de Tiergues que tout le monde redoute, puis la descente vers St-Affrique dans laquelle mes muscles ont décidé d'arrêter de fonctionner.
Ensuite on rentre à Millau par le même chemin.

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Je crois que je vais allé faire un peu de math ... 

Impressionnant... Chapeau à ceux qui s'attaquent à ça !

Ca y est je suis inscrit !

Je vais rejoindre GT et Lambda au camping pour le weekend
J'ai hâte

Ma sortie de samedi est beaucoup moins impressionnante !!!
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Bon, l’altimètre n’est pas très fiable au début…

Encore moins impressionnant

Distance : 500 m
Dénivelé : 0

(Je suis à la piscine)        

Pour moi samedi dernier c'était une sortie de 3h: 33km et 348m de D+
Ca a conclu ma semaine à 99km (j'ai mal compté avant ma derniere sortie, Je voulais faire 100k ...)

Ca me donne une petite estimation de Millau. Voici un comparatif de ma semaine (6 séances mises bout à bout) vs les 100k de millau
Garmin me dit que j'ai fait 1200 m de D+ dans la semaine, et le site de Millau indique 1100 mD+.
Vu l'imprecisions de l'élévation, je pense que c'est comparable.
Bon par contre c'est pas réparti pareil. Millau a des cotes bien plus longues, et tout d'un coup ^^

Saurez vous déceler dans ce graphique mes séances  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] :
- fractionné sur piste d'athlé
- sortie sprint en cote (9x45sec)
- Sortie longue aller retour dans la valée
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Millau en BLEU et ma semaine en ROUGE

Cette semaine c'est repos (4 sorties footing et 1 mini fractionné).

D'ici Millau vois le programme par semaines:
- 55 km (récup en cours)
- 87 km
- 100 km (je vais essayer de pas les rater cette fois !)
- 60 km (récup)
- 110 km (Mega semaine final )
- 83 km Affutage
- 70 km Affutage
- 23 km + Millau  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 
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(j'avoue que les deux semaines "d'affutage" me font peur  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] , autant de volume sur la fin (avec des séances intenses) je me demande si je les ferais toutes).

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Comment vous gérez la plante des pieds ?
Quand j'étais en prépa trail, j'avais besoin de faire des pauses (sorties en sandales) à cause de pieds trop sensible (à cause des cailleurs et autres trucs pointus)
Mais là en entrainement sur route, je n'ai jamais mal, par contre ca ponce ma corne à vitesse grand V.
Du coup je m'inquiète pour les 100k d'un coup.
En prévision, je fais mettre beaucoup mes sandales, pour être sur de ne pas arrivé le jour même avec plus rien sous les pieds  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 

Ca vous arrive de courir chaussé pour préserver votre corne ?

J’avoue que quand je cours, les seules fois où j’ai dû me chausser c’était pendant l’ultra boucle de la Sarra. Enfin quand j’écris chaussé c’est avec des tongs.
Je n’ai pas eu l’occasion de me chausser lors de mes entraînements même si parfois lors d’entraînements longs je peux ressentir des gênes au niveau de la plante des pieds.
Ça fait un petit moment que je n’ai plus couru dans les chemins car le peu d’entraînements que je peux faire, je les réserve pour l’objectif de Millau.
La sensibilité que j’éprouve, c’est comme un capital dans lequel je puise au fur et à mesure de la distance. Lorsque celui-ci est à zéro, ma sensibilité est trop forte et je suis obligé de mettre quelque chose aux pieds si je veux continuer à courir.
Par contre côté peau je n’ai pas particulièrement de problème jusqu’à présent. Il faut dire que mes semaines sont beaucoup plus légères que les tiennes. Lorsque j’atteindrai ton kilométrage, je changerai peut-être d’avis mais dans l’immédiat je ne pense pas me chausser pour m’entraîner. Par contre pour la course je me pose la question de prendre quelque chose pour la fin car si je continue sur mon rythme je vais certainement manquer d’endurance !
Je me demandais si des pédilles ne ferait pas l’affaire… faut juste que j’en trouve à ma taille 

Impressionnant Hans , vraiment  

Je suppose que ton planning est bien rôdé par l'expérience de ce genre de course ?

Les pics sur ton graphique correspondent aux sprints en côte ?

FAB a écrit:

Je suppose que ton planning est bien rôdé par l'expérience de ce genre de course ?

Et bien pas du tout  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Je ne cous régulièrement que depuis l'été dernier. Ma plus grosse course à l'heure actuel c'est le Trail du Ventoux (39km) ...
C'est la première fois que je m'entraine pour une épreuve sur route. Et du coup la première fois que je vais faire 100 km.
D'où mes questionnements sur la plante des pieds ^^

Mon planning d'entrainement m'est fournit par une appli de running, qui génère automatiquement les séances en fonction d'un objectif qu'on lui rentre, des records personnels, le nombre de séances par semaines et quelques autres critères de personnalisation.
Et je fait "bêtement" ce qui est indiqué ! (Mais les semaines où j'arrive a faire l'ensemble des séances n'est pas la norme. C'est compliqué de placer 6 séances par semaines avec la vie de famille).

FAB a écrit:

Les pics sur ton graphique correspondent aux sprints en côte ?

Les sprint en côte c'est la partie turquoise avec des mini piques qu'ont voit pas trop a cause de la resolution de l'image ^^ Les grosses piques en bleu c'est une sortie longue. Ca semble être des montagnes, mais c'est un cote de 100m de haut pour presque 3km de long. Ca doit faire moins de 10% de moyenne je pense.
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GT179 a écrit:

J’avoue que quand je cours, les seules fois où j’ai dû me chausser c’était pendant l’ultra boucle de la Sarra. Enfin quand j’écris chaussé c’est avec des tongs.
Je n’ai pas eu l’occasion de me chausser lors de mes entraînements même si parfois lors d’entraînements longs je peux ressentir des gênes au niveau de la plante des pieds.
Ça fait un petit moment que je n’ai plus couru dans les chemins car le peu d’entraînements que je peux faire, je les réserve pour l’objectif de Millau.
La sensibilité que j’éprouve, c’est comme un capital dans lequel je puise au fur et à mesure de la distance. Lorsque celui-ci est à zéro, ma sensibilité est trop forte et je suis obligé de mettre quelque chose aux pieds si je veux continuer à courir.

J'ai ressentie la même chose pendant mes entrainement trail. Une sensibilité qui semblait surtout nerveuse (avec peut être des petites inflammations).
Et justement ce n'est pas ce que j'ai pour l'entrainement sur route.

GT179 a écrit:

Par contre côté peau je n’ai pas particulièrement de problème jusqu’à présent. Il faut dire que mes semaines sont beaucoup plus légères que les tiennes. Lorsque j’atteindrai ton kilométrage, je changerai peut-être d’avis mais dans l’immédiat je ne pense pas me chausser pour m’entraîner. Par contre pour la course je me pose la question de prendre quelque chose pour la fin car si je continue sur mon rythme je vais certainement manquer d’endurance !

J'hésite entre deux approches: faire le max pieds nu pour forcer l'adaptation de ma peau, ou limiter au maximum pour ne pas arriver à Millau avec des pieds tout doux sans corne  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

J'imagine que la bonne méthode sera un entre deux. Je vais essayer de faire la semaine prochaine entièrement pieds nus pour voir.

GT179 a écrit:

Je me demandais si des pédilles ne ferait pas l’affaire… faut juste que j’en trouve à ma taille  

Wow tu me fait découvrir un nouveau type de "chaussures"  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Concernant la corne qui est élimée par l'abrasivité de la route, courir sur d'autres types de surfaces ne pourrait pas solutionner une partie du problème ?

J’y pense que maintenant mais as-tu essayé de te concentrer sur ta foulé pendant tes entraînements ? C’est à dire essayer de n’avoir qu’un minimum de frottement ou friction avec le sol ? Réduire la rotation ou la translation lorsque le pied est posé au sol.
Comme le dit je ne sais plus qui, être concentré quand on lève la jambe et non quand on la pose. Parfois j’y pense et en accentuant un peu la montée de la jambe et la flexion du genou, je constate sur le relevé de ma montre que la fréquence de mes foulées augmente ; dans le même temps (lorsque j’y pense c’est quand je commence à avoir les pieds plus sensibles), ce changement de rythme et de type de foulée me soulage un peu… maintenant de là à ce que cela t'aide je ne sais pas ‍�

GT179 a écrit:

Comme le dit je ne sais plus qui, être concentré quand on lève la jambe et non quand on la pose.

Jason Robillard, dans The Barefoot Running Book.

HansB a écrit:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Comment vous gérez la plante des pieds ?

Côté préparation, je n'ai jamais rien fait de particulier (pas de jus de citron ni autre), simplement augmenter les distances/durées progressivement.
Pendant la course, la vitesse me sert de variable d'ajustement : quand le revêtement pique, je ralentis voire je marche.
Cela dit, c'est vrai que les terrains rugueux usent à la longue, mais ils usent plus le cerveau/le moral que véritablement la plante des pieds.
Après la course, j'ai parfois la plante des pieds sensible pendant quelques heures après une sortie longue sur des cailloux/du goudron rugueux/du goudron chaud. Là encore, j'attends que ça passe

Par rapport à ton entraînement, on est assez loin de la course pour que tu tentes 1 ou 2 ou 3 semaines totalement pieds nus.
Si tu vois que c'est compliqué de tenir le volume d'entraînement prévu, alors reviens à une alternance pieds nus/sandales.

Dans le bouquin de Ken Bob ("Courir pieds nus"), page 173, il y a un gars qui explique qu'avec la bonne technique, on peut courir en chaussettes sur le bitume sans user les chaussettes.
Il lui a fallu 18 mois pour apprendre à courir en maîtrisant l'abrasion, en sacrifiant des paires de chaussettes, et une fois la bonne foulée acquise, il a supprimé les chaussettes.

LaurentM a écrit:

Dans le bouquin de Ken Bob ("Courir pieds nus"), page 173, il y a un gars qui explique qu'avec la bonne technique, on peut courir en chaussettes sur le bitume sans user les chaussettes.
Il lui a fallu 18 mois pour apprendre à courir en maîtrisant l'abrasion, en sacrifiant des paires de chaussettes, et une fois la bonne foulée acquise, il a supprimé les chaussettes.

Il va falloir un jour que je le lise ce bouquin !
Belle technique, merci pour le partage.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si biensur, sur terrain moins ruggeux, le problème se résoud de lui même.
Mais comme l'objectif est de faire 100km sur route, je veux m'entrainer specifiquement sur ce type de sol.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] en effet, je n'ai jamais encore pris en compte la foulée pour limiter l'abrasion.
J'ai fait (malgré moi) du travail pour sols qui piquent, et cherché consciement à amélioré l'économie de course (moins de mouvement verticaux etc).
Mais je n'ai jamais réflechi à spécifiquement limité les frôtements.
Comme ce n'est pas douloureux sur le moment,c'est plus difficile à adapter.
À travailler sur mes prochaines sortie bitumes !

Je pense aussi qu'il y a la question de l'allure.
Je me demande si c'est pas les sortie fractionnées sur route qui m'ont le plus attaqué la corne.
En augmentant la vitesse, je ne sais pas si on peut éviter d'avoir une poussée vers l'arrière avec le pied (donc du frotement)
À tester !

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Par concre j'ai un dilème
Je suis dans le verdon cette semaine. J'ai des super côtes à dispo, mais c'est du chemin de cailloux (testé ce matin pieds nus, ca pique ).

Si je m'entrainait pour un trail rocailleux, ca serait parfait. Mais pour Millau je suis pas certain.

Donc je penses à plusieurs choses:
- faire un max de côte longues (montée et descente) en sandales. Pour entrainer les muscules et préparer les contraintes des longues montées descente sans être ralentie par le piquant (et avoir l'allure millau)
- pareil mais pieds nus. J'irai plus lentement, mais ca va endurcir les pieds (pas forcément utile pour la suite sur bitume) et ca me fait descentre trèd lentement, donc pas les chocs/foulés que j'aurai a millau)
- chercher uniquement des routes et chemin avec asphalte et rester pieds nus.


Bon, en ennoncant, ca serait quand même triste d'etre dans un coin super beau et de pas profiter des chemins de rando et beau points de vu !
Et j'ai quand même envie d'être pieds nus ...

Je vais voir

Bonne vacances [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].

Ça y est, je suis motivé... pour le moment ! Ce weekend j'ai décidé de m'entraîner un peu en d+ et en descente, et tout ça en même temps
Voici mon prévisionnel :
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Une image vaut mieux qu'un long discours !

Je vais essayer de m'attaquer au géant de Provence; j'hésite entre samedi matin et dimanche matin (ça va surtout dépendre du clap de fin du repas de vendredi soir), avec en prévision l'arrivée au sommet avec l'aube naissante.

Si je ne suis pas mort, je vous posterai quelques photos 

Même mort, des photos de l'au-dela seraient assez interessantes, à toi de voir ce qui est le mieux pour toi 

Whaa le Ventoux ! J'ai pas eu la chance d'aller au sommet en mars.

Tu veux faire la côtes par la route j'imagine ?
Pourquoi de nuit ?

HansB a écrit:

Whaa le Ventoux ! J'ai pas eu la chance d'aller au sommet en mars.

Tu veux faire la côtes par la route j'imagine ?
Pourquoi de nuit ?

Oui je vais passer par la route.

Je fais un départ de nuit pour être (relativement) tranquille sur la route, le matin tôt il y a moins de trafic. Et en bonus avoir le levé de soleil au sommet c'est sympa.

Semaine d'entrainement terminée !
Faite dans le verdon !
J'ai pu faire 100% pieds nus
Une de mes sorties longue a été fait en trail très caillouteux mais super beau parcourt.
Et ma grosse sortie longue a du être raccourcis pour cause d'orage. Comme je suivait une route vers un col, c'était pas raisonnable de finir avec la méga pluie.
Ma chérie est venue me récupérer en voiture avec des changes 🥰
Le retour en voiture m'a conforter dans mon choix ! Avec les essuis glaces à fond on y voyait rien ! (Et j'etais sortis sans eclairage en plus).

J'ai tout de même pu faire deux montée de 300 m chacune. Il me manque la descente et quelques kilomêtres pour faire le compte total de la semaine.

Je fini donc à 66 km, au lieu de 87 (la sortir Trail à ete aussi plus courte en distance, meme si plus longue en durée)

La côte que j'ai fait correspond a peut pret à ce qu'il y aura a millau.
Ca me donne confiance pour la course !

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C'est fait !! Mon exercice du dimanche matin, c'est à dire mon entraînement en montée et en descente, m'a fait faire l'ascenseur émotionnel !
J'ai commencé mon ascension à l'heure prévue j'étais plutôt heureux mais dès les deux premiers kilomètres mon allure n'était pas du tout au rendez-vous et j'ai tout de suite commencé à croire que le levé de soleil se ferait sans moi. Quelques kilomètres plus tard je recommençais à dérouler dans l'allure cible et j'ai repris espoir... en fait les premiers kilomètres étaient un peu plus abruptes que les suivants, d'où mon départ façon escargot !
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Puis, à l'approche du Chalet Reynard, alors qu'il faisait encore nuit noire, les étoiles ont commencé à disparaître ! une couverture nuageuse faisait son apparition. Rebelote, je me suis dit que décidément je ne le verrai pas ce levé de soleil !
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Plus je m'approchais du sommet plus les nuages étaient denses et le vent était assez frais avec par moment des bourrasques qui me faisaient bouger !
Dans mes souvenirs les cinq derniers kilomètres étaient difficiles mais aujourd'hui ça n'a été difficile que sur les derniers 1500 mètres.
Le sommet dans la purée de pois :
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Il faudra que je repasse pour le levé du soleil...

La descente se passait bien, vers le Chalet Reynard j'ai commencé à croiser quelques cyclistes, oui car à l'aller je n'ai croisé personne !
Vers les trois quarts de la descente mes cuisses et mes chevilles (pourquoi mes chevilles, j'en sais rien !) commençaient à bien chauffer malgré une allure raisonnable.

Au final j'ai fait un peu moins de 32 kilomètres en 3h33 et environ 1320m de d+.

Bravo ! Belle allure moyenne !
C'est répartis comment entre descente et montée ?

HansB

Citation :

Bravo ! Belle allure moyenne !
C'est répartis comment entre descente et montée ?

Par la route, avec le Ventoux il n'y a pas de répit ! Je n'ai fait qu'un aller-retour, à l'aller c'était grimpette et au retour descente.
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Jolies sorties, tous les deux.
De mon côté, l'entraînement reste totalement inefficace.
Distance moyenne hebdomadaire : 34 km, soit 1/3 de ce qu'il faudrait.
Sortie la plus longue : 22 km, soit 2/5 de ce qu'il faudrait.

À ce rythme-là, je devrais arriver au bout du marathon mais pas beaucoup plus.